Le Persévérant

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Lutte contre le paludisme au Burkina Faso : Clin d’œil à ces trois centres et à leurs acteurs.

Lutte contre le paludisme au Burkina Faso : Clin d’œil à ces trois centres et à leurs acteurs.

 

Aujourd’hui, c’est mardi, le 25 avril 2023. Le monde entier, plus particulièrement, la communauté scientifique, dans sa frange sanitaire, pour être plus précis, célèbre la Journée Mondiale de Lutte contre le Paludisme. « Il est temps de parvenir à zéro cas de paludisme : investir, innover, mettre en œuvre ». C’est le thème choisi par l’Organisation Mondiale de la Santé. Et il tombe à pic. En attendant donc que cela soit une réalité, n’oublions pas la réalité dans laquelle cette lutte se mène. C’est pourquoi, et personnellement, je trouve nécessaire et opportun, de rendre hommage à toutes les actrices et à tous les acteurs  qui y consacrent des nuits entières et …..toutes blanches. De ma petite voix, je voudrais vous dire et je vous dis : bravo, félicitations et très bonne suite donc dans cette abnégation et dans cette persévérance.

 

Si ma pensée va à toutes et à tous à travers le monde, je voudrais plus particulièrement signifier ma reconnaissance et mon admiration à trois centres dont les acteurs se battent contre ce silencieux fléau au Burkina Faso. Il s’agit du Centre Muraz de Bobo-Dioulasso, du Centre de Recherches en Santé de Nouna et du Centre de Nanoro.  En effet, ils sont très nombreux ces Burkinabè qui se battent dans ce domaine, mais particulièrement je pense à ces trois centres, presque exclusivement dédiés, entre autres, à cette lutte. Quand on parle du Centre Muraz de Bobo-Dioulasso, on ne pourrait s’empêcher de penser, entre autres, au Professeur Abdoul Salam Ouédraogo. Quand on parle du Centre de Recherches en Santé de Nouna, on ne peut s’empêcher de penser, entre autres, à Dr Ali Sié, à Dr Mamadou Bountogo et j’en oublie. Quand on parle du Centre de Nanoro, on ne peut ne pas penser, entre autres, au Pr Halidou Tinto et j’en passe. Je précise qu’ils ne sont pas les seuls, mais je me permets de les citer au nom des autres actrices et acteurs.

 

Au Burkina Faso, ces centres sont connus, très bien connus par beaucoup. A l’international également ils sont connus et reconnus. Cela pour dire qu’ils n’ont pas dormi sur leurs lauriers. Et des lauriers, Dieu seul sait combien ils en ont engrangés. Des lauriers pour exprimer la reconnaissance du monde scientifique ; du monde tout simplement. De leur mieux, ils se battent, mais c’est un domaine, certes, je ne m’y pas connais, mais je sais qu’il n’est pas aisé et pour y avoir des résultats, cela nécessite le courage, la patience, l’abnégation et la persévérance. Bref.

 

Quelques-uns me diront ici que ce sont des éloges. Je ne le pense pas. Je pense et j’en suis convaincu qu’ils méritent mieux et je mets à profit cette Journée Mondiale qui met en exergue leur âpre lutte, pour davantage les galvaniser à ma petite manière. En rappel, c’est depuis l’Assemblée Mondiale de la Santé tenue en 2007 que les États membres de l’OMS ont institué le 25 avril de chaque année comme la Journée Mondiale de Lutte contre le Paludisme.

 

Donc, bon courage et très bonne suite à vous, à nous. En attendant, nous sommes aujourd’hui, mardi, le 25 avril 2023. Que Dieu veuille et veille. Que Allah nous garde et nous guide.

 

                                                                    Hama Hamidou DICKO

 



25/04/2023
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